l'appel de la forêt de jack London (hors liste ?)
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l'appel de la forêt de jack London (hors liste ?)
L’histoire se passe en 1897. Les hommes, en creusant, avaient trouvé un métal jaune, enfoncé dans le sol glacé des régions arctiques. Il leur fallait des chiens pour travailler.
Pendant ce temps, Buck, un gigantesque Terre-Neuve, habitait dans une belle demeure dans la vallée ensoleillée de Santa-Clara. De par sa taille, il semblait crée pour jouer un rôle dans les solitudes glacées de l’Alaska ; et c’est ce qui advint à cause de la trahison d’un aide-jardinier. Le misérable Manoël avait pour la loterie chinoise une passion effrénée ; et ses gages étaient à peine suffisants pour assurer l’existence de sa femme et de ses enfants. Il ne recula donc pas devant un crime pour se procurer les moyens de satisfaire son vice. Il vendit Buck pour quelques pièces d’or.
Après avoir été revendu, dressé, Buck fit un grand voyage qui se termina au Canada où il découvrit la neige et apprit le rude métier de chien de traîneau avec ses peurs, sa violence, ses accidents.
Un jour il remit la place de chef de meute, que détenait Spitz, en jeu. Il entra en conflit avec lui au point d’un jour le tuer et prendre alors sa place à la tête du convoi.
Revendu encore plusieurs fois, il sera prit sous l’aile bienveillante de Thornton alors que ses anciens propriétaires (des novices en ce qui concernait les chiens de traîneau et les plaines glacées) ainsi que ses anciens compagnons tombèrent dans la rivière, la glace trop fine ayant cédée sous leur poids.
Il reprit des forces. Puis son instinct sauvage réapparut tout doucement, mais il restait fidèle à Thornton. Lors d’une bagarre, il le secourut en attaquant l’agresseur. Buck fut ainsi connu dans tous les camps de l’Alaska. Il sauvera aussi son ami de la noyade. Ensembles, avec les deux compagnons de Thornton et d’autres chiens, ils partirent à la recherche d’or. Ils s’installèrent dans une vallée riche en or. Là Buck, et ses autres amis canins, n’avaient rien à faire à part se reposer ou rapporter au camp le gibier tué par Thornton.
Pour Buck, l’appel qui résonnait au fond de la forêt éveillait en lui une foule de désirs indéfinissables et d’étranges sensations. Une nuit, il partir rejoindre cet Appel !!! il rencontre un loup. Après l’avoir « apprivoisé » ils jouèrent ensembles. Puis le loup fit comprendre à Buck qu’il pouvait l’accompagner. Buck était heureux, il se sentait répondre à l’Appel. Mais tout d’un coup, le souvenir de John Thornton étreignit soudain son cœur. Il décida alors de rebrousser chemin malgré l tristesse et les plaintes de son nouvel ami. Il resta pendant deux jours au camp, mais il fût de nouveau hanté par l’Appel. Il se remit à courir les bois mais sans pouvoir retrouver son farouche compagnon.
Mais un jour, alors qu’il revenait d’une longue chasse à l’élan, il découvrit au campement des Peaux-rouges qui avaient massacré ses anciens compagnons et brûlé la cabane. Il les attaque et tua quelques uns alors que les autres s’enfuirent impuissants. Il passa une journée à hurler sa tristesse. Désormais, il ne connaîtra plus la crainte de l’Homme.
Une meute de loup arriva et l’attaqua. Il se défendit. Puis il reconnut son ancien ami, se fit accepter et il partit avec eux.
http://www.ratsdebiblio.net/londonjacklappel.html
http://www.jack-london.fr/forum/lofiversion/index.php?t15.html
http://www.livredepoche.com/livre/Livre-de-poche-titre-3062478-auteur-jack-london-livre-l-appel-de-la-foret-hachette.html
sur jack london
http://www.ricochet-jeunes.org/biblioauteur.asp?id=1658
http://www.ratsdebiblio.net/londonjack.html
http://www.fluctuat.net/livres/chroniques/london.htm
Pendant ce temps, Buck, un gigantesque Terre-Neuve, habitait dans une belle demeure dans la vallée ensoleillée de Santa-Clara. De par sa taille, il semblait crée pour jouer un rôle dans les solitudes glacées de l’Alaska ; et c’est ce qui advint à cause de la trahison d’un aide-jardinier. Le misérable Manoël avait pour la loterie chinoise une passion effrénée ; et ses gages étaient à peine suffisants pour assurer l’existence de sa femme et de ses enfants. Il ne recula donc pas devant un crime pour se procurer les moyens de satisfaire son vice. Il vendit Buck pour quelques pièces d’or.
Après avoir été revendu, dressé, Buck fit un grand voyage qui se termina au Canada où il découvrit la neige et apprit le rude métier de chien de traîneau avec ses peurs, sa violence, ses accidents.
Un jour il remit la place de chef de meute, que détenait Spitz, en jeu. Il entra en conflit avec lui au point d’un jour le tuer et prendre alors sa place à la tête du convoi.
Revendu encore plusieurs fois, il sera prit sous l’aile bienveillante de Thornton alors que ses anciens propriétaires (des novices en ce qui concernait les chiens de traîneau et les plaines glacées) ainsi que ses anciens compagnons tombèrent dans la rivière, la glace trop fine ayant cédée sous leur poids.
Il reprit des forces. Puis son instinct sauvage réapparut tout doucement, mais il restait fidèle à Thornton. Lors d’une bagarre, il le secourut en attaquant l’agresseur. Buck fut ainsi connu dans tous les camps de l’Alaska. Il sauvera aussi son ami de la noyade. Ensembles, avec les deux compagnons de Thornton et d’autres chiens, ils partirent à la recherche d’or. Ils s’installèrent dans une vallée riche en or. Là Buck, et ses autres amis canins, n’avaient rien à faire à part se reposer ou rapporter au camp le gibier tué par Thornton.
Pour Buck, l’appel qui résonnait au fond de la forêt éveillait en lui une foule de désirs indéfinissables et d’étranges sensations. Une nuit, il partir rejoindre cet Appel !!! il rencontre un loup. Après l’avoir « apprivoisé » ils jouèrent ensembles. Puis le loup fit comprendre à Buck qu’il pouvait l’accompagner. Buck était heureux, il se sentait répondre à l’Appel. Mais tout d’un coup, le souvenir de John Thornton étreignit soudain son cœur. Il décida alors de rebrousser chemin malgré l tristesse et les plaintes de son nouvel ami. Il resta pendant deux jours au camp, mais il fût de nouveau hanté par l’Appel. Il se remit à courir les bois mais sans pouvoir retrouver son farouche compagnon.
Mais un jour, alors qu’il revenait d’une longue chasse à l’élan, il découvrit au campement des Peaux-rouges qui avaient massacré ses anciens compagnons et brûlé la cabane. Il les attaque et tua quelques uns alors que les autres s’enfuirent impuissants. Il passa une journée à hurler sa tristesse. Désormais, il ne connaîtra plus la crainte de l’Homme.
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